"J'ai quitté la Mauritanie suite aux événements douloureux que nous avons connus en 1989. Comme beaucoup de Mauritaniens qui sont venus ici, j'étais aussi candidat réfugié."
Un reportage photographique d'Annabel Werbrouck et Dominique David
Les photographies qu'Annabel Werbrouck et Dominique David présentent sont un aperçu d'un travail réalisé conjointement qui invite à poser les yeux sur le quotidien des habitants de cités des Marolles, au cœur de Bruxelles, dans la simplicité de leur lieu de vie.
En mêlant notre regard et nos sensibilités, nous cherchons à montrer l’intimité d’un habitat et de ses occupants, sans misérabilisme ni voyeurisme, mais avec tendresse et réalisme. Au travers de natures mortes des intérieurs, de portraits des habitants et de vues des cités elles-mêmes, nous livrons ici quelques tranches de vie. Si les natures mortes révèlent toujours avec poésie les recoins des appartements, nous avons surtout voulu montrer le soin mis par chacun pour faire de son environnement le reflet de soi-même, de ses passions et de son histoire.
Les photographies qu'Annabel Werbrouck et Dominique David présentent sont un aperçu d'un travail réalisé conjointement qui invite à poser les yeux sur le quotidien des habitants de cités des Marolles, au cœur de Bruxelles, dans la simplicité de leur lieu de vie.
En mêlant notre regard et nos sensibilités, nous cherchons à montrer l’intimité d’un habitat et de ses occupants, sans misérabilisme ni voyeurisme, mais avec tendresse et réalisme. Au travers de natures mortes des intérieurs, de portraits des habitants et de vues des cités elles-mêmes, nous livrons ici quelques tranches de vie. Si les natures mortes révèlent toujours avec poésie les recoins des appartements, nous avons surtout voulu montrer le soin mis par chacun pour faire de son environnement le reflet de soi-même, de ses passions et de son histoire.
Contacts
Annabel Werbrouck : annabelwerbrouck@gmail.com
Dominique David : info@dominiquedavid.com
dimanche 31 octobre 2010
Jean, dit Johnny
Ma passion, c'est pour Johnny.
Je collectionne tout ce qui est de Johnny, voilà.
Mes parents, mes sœurs, ils font de leur nez, parfois : "Ca, c'est de trop"
Andrea, dite Fifi
"J'avais une vieille camionnette, moi, qui ne tenait plus ensemble, quoi. J'étais douée en mécanique, je savais démonter et remonter un moteur. Y en a beaucoup dans les blocs, quand vous leur parlez de Fifi, ils vont bien dire que j'étais capable."
jeudi 26 août 2010
Marie
"Deux fois par semaine il y a une de mes filles qui vient, alors je descends. Parfois, je vais chercher mon pain. On fait une fois un petit tour, je vais chez mon fils, je reviens, je lave, je m’assieds, je mange, je fais la vaisselle, je me repose. Je regarde la télé, ah oui, qu’est ce qu’on peut faire…"
Inscription à :
Articles (Atom)